Amaranth E. Jacobson
Messages : 7 Date d'inscription : 14/12/2011
| Sujet: AMARANTH ✿ notre passé nous rattrape toujours Mer 14 Déc - 17:15 | |
| Jacobson-Doyle Amaranth Evydence « Citation » Je m'appelle Amaranth Evydence Jacobson-Doyle-Winchester. J'ai 522 ans et quelques mois car je suis né(e) en 1489. Je suis originaire de Pays/Ville et actuellement je vis à Forks. Sinon je suis célibataire ou veuve, comme vous le voulez, et j'en suis satisfaite, les hommes se n'est plus mon truc. Je fais partit des vampires…
Histoire d'une Vie Une mère doit donner à son enfant tout l'amour qu'elle a à revendre, elle doit le rassurer, le protéger, lui sourire.. Moi, je n'ai jamais vécu tout ca. Ma mère ne m'a jamais bercer, ne m'a jamais raconter d'histoire pour que je m'endorme, n'a jamais dormi avec moi lors des nuits d'orages, ne m'a jamais dit je t'aime. Je ne suis pas orpheline, j'ai toujours deux parents, je n'ai juste pas de chance.. Je suis juste tombé dans la mauvaise famille, on ne peut même pas dire que je suis le fruit de l'amour entre eux, ils ne s'aiment même pas, ils se haïssent depuis leur rencontre, depuis que leurs parents les ont fiancés pour le bien de la famille Doyle et de la famille Winchester. Toute une histoire.. Ma mère était âgée d'à peine huit ans quand elle a été fiancé de force à mon père. Lui était son ainé de trois ans. Dans ma famille, les mariages arrangés se font toujours, vous ne trouverez aucune Doyle et aucune winchester qui ne s'est pas mariés avec un homme qu'elle détestait. Le pire dans tout cela, c'est qu'on reste en famille, même si ce sont des cousins éloignés. Ainsi nous gardons notre statut de noble parmi les grands de ce monde. Personne n'a encore contredit l'autorité de ses parents, mais si cela arrive un jour, vous pouvez être persuadé que votre ligne de vie se raccourcit bien vite pour au final, finir dans une boite au cimetière. Dans ma famille, c'est comme ça, on n'a pas le droit de dire non, sans en payer le prix. Ils se sont marié quand ma mère à eu ses dix-sept ans, le lendemain de la remise des diplômes après sept ans de dur labeur dans l'une des plus grandes. Dans les deux branches de ma famille, les valeurs sont dignes des pires nobles d'Amérique : la douceur, la gentillesse, la tendresse.. Tout ça ne sont que des choses futiles et malsaines aux yeux de mes alleux. Chez moi on est élevé à la dure, sans tendresse et surtout, sans amour. Mais quand vous ne l'avez jamais connu, il ne peut pas vous manquer.
Je n'aurais jamais dû venir au monde. En vérité, j'aurais du perdre la vie et ne pas devenir un miracle.. Un miracle dont tout le monde se moque. Mes parents voulaient un garçon, pour reprendre la fortune de la famille. Pour eux, une fille ne sert qu'à être marié, pour être franche, si je pouvais remonter le temps, je ferais en sorte que mon cœur ne se mette pas à battre. L'accouchement s'est passé avec quelques complications, ma mère a fait une hémorragie mais elle s'en est vite remise, quand à moi, j'étais morte. Je ne pleurais pas, je ne respirais pas, je ne réagissais pas. Croyez vous que mes parents s'inquiétaient ? A croire que ma mort leur faisait plaisir. Mais finalement, après quelques instants, je me suis mise à pleurer quand mon cœur est repartie, quand j'ai pris la première bouffé d'air de ma vie. Ma mère n'a même pas voulu me prendre dans ses bras, mon père lui, est repartie au travail tout de suite après. Oui, il est venue pour faire bonne impression auprès des médecins de l'hôpital. Et moi, je suis restais pendant deux semaines sous surveillance.. Deux semaines ou m'a mère n'est jamais venue voir si tout allait bien. Je n'étais qu'un nouveau né qui avait besoin de sa mère. Au final, j'aurais pu prendre l'infirmière pour ma mère, elle venait bien plus me voir que celle qui m'a mise au monde. Quand j'ai su cela, j'ai souhaité mourir. Je ne suis ni suicidaire, ni dépressive, j'ai simplement des parents qui ne m'aime pas, qui ne prête attention à moi qu'en cas de besoin ou pour la réputation de ma famille... Si seulement les gens savaient que les Winchester-Doyle ne sont que des sales... Sales... Bref, je reste polie. Pendant ces deux semaines, j'ai subi toutes sortes d'examen, au final on ne m'a rien trouver d'anormal. C'était juste passager, mon cœur ne s'était pas lancé au bon moment mais cela n'aura aucune incidence pour ma vie futur, j'étais en bonne santé, je suis en bonne santé... Physiquement en tout cas.
Comme mon arrière grand mère, ma grand mère, ma mère, c'est à mon tour d'être fiancé alors que je n'ai que dix ans. Un cousin éloigné que je n'avais encore jamais vu. Je ne connaissais que son nom, Melchior Henry Doyle-Jacobson. Un garçon de deux ans mon ainé, un garçon qui est parfait pour moi d'après ma mère. Mais moi, je ne veux pas me marier, je veux faire ma vie, trouver un homme qui m'aime et que j'aimerais de tout mon cœur, un homme qui me comprenne et qui, peut importe son rang, se comportera avec moi comme un prince charmant. Mais quand on a quinze ans, les rêves que l'ont fait nous sont précieux, c'est que qu'il nous donne de l'espoir pour notre vie futur, ce qui nous permet de nous évadé de notre quotidien. J'ai tenté de refuser ces fiançailles, prétextant que je veux choisir moi même celui que je veux comme mari plus tard mais ma mère n'a trouvé qu'une seule chose à dire « Vous n'avez guère le choix, c'est un ordre ! » Que répondre à cela ? Je suis simplement allée dans ma chambre et j'ai pleurer en attrapant ma peluche et en la serrant très fort. Cette mère, m'a donné la vie, mais elle me la reprend doucement à chaque minute qui passe. Dans ces moments là, je sortais de sa petite cachette un livre ou je dessinais, j'écrivais tout ce que je pouvais ressentir. C'est mon journal intime, et mon confident, mon unique ami. « Darling, ma mère veut me marier. Mais je ne veux pas, je veux pouvoir choisir mon prince charmant. Ce Meltruc, je veux pas de lui..». J'ai fait la rencontre de Melchior quelques jours plus tard, il est brun, yeux émeraude, et pour être franche, il était bel homme. Enfin, pour le moment. Il est poli mais il fait peur. Il a un sourire horrible digne de psychopathe, il me fait peur, je ne veux pas le voir, je ne veux pas l'épouser, il est violent et cruel, je ne mérite pas un tel mari. Je suis jolie, mignonne, je suis une princesse. J'ai tellement peur que je m'enfuis pour m'enfermer dans ma chambre et de nouveau écrire dans mon petit cahier secret. « Darling, c'est un monstre.. J'ai peur.» J'ai tellement peur.
Neuf moi après mon mariage, je mis au monde un fils. La nuit avait été longue et douloureuse, les cris persistaient dans le manoir et ma voix couvrait le tonnerre de la nuit. « Haaa ! j'y arriveraiiiiiis paaaaas.». La sueur coulait de mon front, brulant que les domestiques tentait de refroidir. J'aurais pu mourir là, j'aurais du mourir là car le pire de ma vie était à venir. Le tonnerre grondait de plus en plus fort, puis soudainement, après une nuit, le calme fut de retour et seul des pleurs d'enfant se faisait entendre. « Killian... Mon fils.». Je lui ai donné le prénom de mes rêves, celui dont je rêvais la nuit et qui me faisait sourire. J'ai passé un neuf mois a souffrir, a entendre mon époux me hurler dessus. Beaucoup de personne aurait haïr leur enfant s'il avait était conçu comme mon bébé. Ma nuit de noce, alors que je rêvais d'un échange tendre et délicat, romantique j'ai eu tout l'inverse. Il m'a frappé, m'a hurler dessus et une fois qu'il eu atteint le ciel qu'il voulait, il me laissa dans la chambre comme une simple prostituée. Mais mon enfant, bien que son père soit un connard, n'était pour rien dans tout cela et je l'ai aimé, dès le premier regard, dès la première seconde. Il était devenue ma véritable raison de vivre.
Cinq ans après la naissance de Killian, mon époux ne m'a plus jamais retouché. Il a eu son héritier et c'est tout ce qu'il voulait mais je m'en moquais, il ne me touchait pas tout était parfait. Un beau soir de décembre, alors que je revenais des cadeaux de Noël je suis tombée sur un charmant jeune homme. Il devait à peine avoir la trentaine, brun aux yeux dorés, une pure merveille. On a parlé et puis, on s'est revu plusieurs fois pendant deux mois; Avec lui, j'étais heureuse. Il était tout le contraire de mon époux, il était romantique et passionné. Un soir ou je devais le rejoindre, on a décidé de passé a l'acte, de partage une nuit rien qu'à deux mais rien ne se passa comme prévue. « Je suis prête. » Et il commença à me déshabiller, petit à petit, m'effeuillant de mes vêtements pour finalement admirer mon corps d'Eve. J'étais rouge, j'avais honte mais il est venue m'embrasser en me disant qu'il n'avait jamais rien vu d'aussi divin. Nos corps ont commencé a s’entremêler et puis, quelques secondes après, alors qu'il embrassait mon cou, je sentis une intense douleur me parcourir. Je souffrais de toutes les façons possible, prise de spasmes alors que lui, me faisais l'amour. A cette instant, j'avais tout perdue : mon fils, mon âme, ma vie. Après quelques instants d'inconscience, je me réveilla, les yeux rouges et assoiffée. C'est ainsi qu'il m’expliqua le tout. Je n'étais plus la gentille Amaranth Jacobson, j'étais devenue Amaranth la vampire.
underco Caractère Dans cette partie, vous décrirez au mieux votre personnage. Ses manies, ses loisirs, sa façon d'être ... Absolument tout ce qui peut vous passer par la tête Un minimum de 15 lignes est demandé (pas difficile dans ce format là)
Et dans la Vie Réelle ?
| ● Pseudo: R. ● Age : 22 ans ● Comment as tu découvert le forum ? : bazzart ● T'en penses quoi ? : Sublime ● Temps de connexion ? : 4 jours par semaine ● Personnalité sur ton vava ? : Hilly Hindi ● Crédits : google ● Petit code : - Spoiler:
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Dernière édition par Amaranth E. Jacobson le Jeu 15 Déc - 18:50, édité 7 fois |
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Isabella S. Cullen Fondatrice ☽ Is stupid & sick lamb
Messages : 318 Date d'inscription : 23/04/2011 Age : 33
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